Voila plus que quelques jours avant le départ en Thailande...
Passage obligatoire par Bangkok, qui signifie la ville des anges, puis départ pour Delhi, direction Dharamsala.
Je me laisse ces 17H de vol entre bruxelles et bkk pour pouvoir "depressuriser" et faire un changement mental.
Situons:
les voyages qui ont comptés pour moi ont été ceux chez ma grand mère [Thailande - Surat-Thani], celui a Paris avec Thomas, celui au Canada avec Marie-Lyne, les classe de neiges [a 12 ans], et les quelques virées en bord de plages.
Chaque fois le meme constat: cela prend 2 jours minimum avant de vraiment se rendre compte qu'on est plus dans la meme ville.
Moi je m'habitue relativement vite, mais je sais que certaines preoccupation comme la monnaie, les points d'acces, le voyage en lui meme ne s'installe qu'a partir de ce deuxieme jour...
Point de stress avant l'heure!
Passage obligatoire par Bangkok, qui signifie la ville des anges, puis départ pour Delhi, direction Dharamsala.
Je me laisse ces 17H de vol entre bruxelles et bkk pour pouvoir "depressuriser" et faire un changement mental.
Situons:
les voyages qui ont comptés pour moi ont été ceux chez ma grand mère [Thailande - Surat-Thani], celui a Paris avec Thomas, celui au Canada avec Marie-Lyne, les classe de neiges [a 12 ans], et les quelques virées en bord de plages.
Chaque fois le meme constat: cela prend 2 jours minimum avant de vraiment se rendre compte qu'on est plus dans la meme ville.
Moi je m'habitue relativement vite, mais je sais que certaines preoccupation comme la monnaie, les points d'acces, le voyage en lui meme ne s'installe qu'a partir de ce deuxieme jour...
Point de stress avant l'heure!
C'est le soir de la Lune Rousse, il y a quelques semaines, que se confirma le départ pour l'Inde a la suite d'un entretien dans les bureaux de javva [http://javva.org/] .
Pourquoi l'Inde?
euh...pourquoi ce chantier international plutot!
Parce qu'il s'agit d'une rencontre interculturelle entre des jeunes de mon age venant de differents pays et se rencontrant autour d'un projet commun: ici, la culture tibétaine.
C'est une bonne opportunité pour rencontrer des gens ayant en point commun ce chantier; ceux-ci précedent souvent un voyage a la carte, initiatique, a pied, entre amis, ou seul.
Origines
Depuis une discussion avec ma mere, et une connaissance plus approfondie de mes origines [chinoises du cote de mon grand-pere et musulmanes du cote de ma grand-mere, le peuple thai emanant du peuple tibetain, lui meme emanant du pays Mongole], j'ai une attirence et meme une identification au Tibet.
Les plateaux, les montagnes, les vents culminants aux plus hautes altitudes de la planetes, chargees de prieres et de bonnes intentions, fluctuants a travers les tapis et les axes climatiques et voyageant ainsi dans le monde entier; il me semblait evident d'inscrire mon message individuel a ce point de depart.
La spiritualité toute encrée de ce peuple tibétain, en partie nomade, ou l'on retrouve l'origine du bouddhisme et une implication ainsi qu'une application actuelle m'etaient plus que familliere, il s'agissait d'aller rejoindre la terre dont j'emergais.
La terre a laquelle je fais partie, prendre la place que j'occupe dans mon coeur et que je souhaite acter.
Sur mon précédent blog, je parlais deja de Russie, de Mongolie et Tibet.
J'ai eue l'occasion de rencontrer l'annee passee un avocat qui me parla de l'auteur polonais Ferdinand Ossendowski, ayant relate ses aventures [entre 1900 et 1915] a travers les trois pays cites plus haut. J ai donc eue l'occasion de lire "Betes, hommes et Dieux" ou il parle de sa fuite des bolcheviks pour rejoindre l'Inde depuis Moscou.
J'ai eue l'occasion de rencontrer l'annee passee un avocat qui me parla de l'auteur polonais Ferdinand Ossendowski, ayant relate ses aventures [entre 1900 et 1915] a travers les trois pays cites plus haut. J ai donc eue l'occasion de lire "Betes, hommes et Dieux" ou il parle de sa fuite des bolcheviks pour rejoindre l'Inde depuis Moscou.
L'annee passee, je souhaitais deja partir en mars Mongolie pour y faire du benevolat et m'inspirer, me ressourcer aupres des landes et des vallees, dans cette image proche de la Vallee du Panchir, ce lieu preservé de l'Afghanistan, berceau de la resistance de Massoud.
Je pris mon mal en patience, en allant voir "Le Chien Jaune" avec Eva, en ecoutant des musiques des steppes, passant de temps a autres au Centre de Meditation Tibetaine [rue capouillet, acces 91-92-93-94 et METRO Louise, derrière la place Stephanie], faisant bruler de l'encens Green Tara ou Medicinal, lisant Ossendowski, me balladant sur les sites de l'Orient-Express et du Transibérrien, attrapant au vol un reportage sur un Festival consacré aux chants mongols sur Arté,
[En Mongolie, dans le désert de Gobi, se tient tous les ans un étonnant festival dédié à la musique : une occasion unique de découvrir la culture mongole, héritière de l'ancien empire de Gengis Khan.
Tous les ans, des musiciens venus d'Europe, d'Amérique et d'Asie se rendent dans le désert de Gobi et à Oulan Bator pour participer au Festival Roaring Hoofs ("fers à cheval hurlants") organisé par la "New music association of Mongolia" et le musicien et musicologue allemand Bernhard Wulff. Les musiciens se retrouvent dans l'immensité des steppes, des dunes et des déserts rocailleux. Dans le désert de Gobi transformé en salle de concert, on peut alors entendre ce qui rapproche et ce qui différencie les techniques musicales d'Occident et d'Asie centrale. Les chanteurs entonnent les chants des steppes, qui parlent du caractère unique de la culture et de la nature mongoles...
Une culture quasiment éteinte
Grande comme trois fois la France, la Mongolie excite les imaginations occidentales. Même à l'ère de la mondialisation, ce pays enclavé reste difficile d'accès. Il abrite le désert le plus septentrional du monde, ne compte que 2 millions d'habitants mais possède un cheptel de plus de 30 millions d'ovins, de chameaux et de yaks. La Mongolie fut le berceau de l'un des plus grands empires de tous les temps, fondé par Gengis Khan. Huit cents ans après le déclin de cet empire, l'ancienne culture mongole est quasiment éteinte. Les fêtes du Naadam, joutes où les hommes se mesurent au tir à l'arc, à la lutte ou dans des courses de chevaux, et les techniques insolites des chants chömij (accents diphoniques) et urtyn duu (chants des steppes) sont les seules traditions encore vivantes. ].
[En Mongolie, dans le désert de Gobi, se tient tous les ans un étonnant festival dédié à la musique : une occasion unique de découvrir la culture mongole, héritière de l'ancien empire de Gengis Khan.
Tous les ans, des musiciens venus d'Europe, d'Amérique et d'Asie se rendent dans le désert de Gobi et à Oulan Bator pour participer au Festival Roaring Hoofs ("fers à cheval hurlants") organisé par la "New music association of Mongolia" et le musicien et musicologue allemand Bernhard Wulff. Les musiciens se retrouvent dans l'immensité des steppes, des dunes et des déserts rocailleux. Dans le désert de Gobi transformé en salle de concert, on peut alors entendre ce qui rapproche et ce qui différencie les techniques musicales d'Occident et d'Asie centrale. Les chanteurs entonnent les chants des steppes, qui parlent du caractère unique de la culture et de la nature mongoles...
Une culture quasiment éteinte
Grande comme trois fois la France, la Mongolie excite les imaginations occidentales. Même à l'ère de la mondialisation, ce pays enclavé reste difficile d'accès. Il abrite le désert le plus septentrional du monde, ne compte que 2 millions d'habitants mais possède un cheptel de plus de 30 millions d'ovins, de chameaux et de yaks. La Mongolie fut le berceau de l'un des plus grands empires de tous les temps, fondé par Gengis Khan. Huit cents ans après le déclin de cet empire, l'ancienne culture mongole est quasiment éteinte. Les fêtes du Naadam, joutes où les hommes se mesurent au tir à l'arc, à la lutte ou dans des courses de chevaux, et les techniques insolites des chants chömij (accents diphoniques) et urtyn duu (chants des steppes) sont les seules traditions encore vivantes. ].
Patiemment,
oui, j'ai rassemblé des "etre" de destinee (la destinee, ce n'est jamais que la vie qu'on accomplit sur terre, pareil a ce jeu de Go qui prend vie, s'etend et cree des croix/pyramides dans le cosmos).
Les pierres et le Reiki sont mes deux sciences de vertus.
Une meditation reguliere, après une periode de lecture assidue des guides sur les cristaux (bible, boshiero et autres mystiques) menerent a une initiation reiki.
Je suis désormais initiée au premier degré, via la lignée Usui Shiki Ryoho...
Alors, ca a donné quoi?
Apres plusieurs traitements au Reiki, nous etions trois personnes a se faire initier, un assistant et un maître initiateur.
On commence par une petite meditation ou l'on se connecte a la terre, on se remplit d'une bulle d'amour, puis on va nous expliquer le principe du reiki, les bases et comment se deroulera l'initiation en soi.
Les principes du Reiki
. Aujourd'hui, pas de souci .
vivre le moment présent est une notion connue, il n'est parfois pas facile de relativiser, et se dire que les seules choses dont nous devrions nous soucier sont l'instant present, le passé est "mort", le futur n'est pas encore ecrit, c'est donc maintenant que tout se passe.
avoir foi en nous meme, en notre corps qui est le premier recepteur, receptacle et votre meilleur ami ici bas.
. Aujourd'hui, pas de colère .
savoir s'exprimer sans colorer cela de peur gratuite.
les coleres que les autres en nous, sont celles qui sont dans nos propres corps subtiles
certaines coleres sont saines, ne l'oublions pas, si elles sont correctement formulees et communiquees
on peut mieux se comprendre et etre capable de distinguer notre implication et nos emotions.
. Respectez vos parents, vos professeurs, vos ainés, vos voisins .
respecter ce qu'il y'a autour de nous, car nous sommes faits de la meme essence.
nous recherchons tous a etre bien, nous aspirons tous au bonheur.
. Gagnez votre vie honnetement .
montrer de la grattitude envers les nourritures, respecter les ressources de cette terre qui nous donne tout ce dont nous avons besoin, preserver et prendre conscience.
etre honnete envers soi meme.
etre heureux de ce que l'on fait et travailler au service de l'humanité.
. Montrez de la gratitude pour tout ce qui vous entoure .
remercier la vie de vous traverser, de pouvoir aspirer a acter et acter sur cette terre, dans cette vie.
pour votre coeur, votre corps, et ce qui fait votre environnement.
L'initiation par le Maitre
Le maitre passe plusieurs fois autour de nous inscrit les symboles sacrés dans notre aura, on joint les mains ou nous les placons jointes au dessus de la tete [tel une antenne] ou encore les ouvre et les referme après y avoir inscrit des signes du Reiki, il souffle également a plusieurs endroits.
L'energie est en effet tres grande [le premier jour je supportais assez bien, mais ayant mal dormi et mal mangé le lendemain fut assez hard], et les visions sont tres claires.
De mon point de vue,
c'est plus qu'un reve qui se realise, c'est ce en quoi j'ai toujours mis de l'espoir et voulu croire: la possibilité de soigner avec les mains, via l'amour et pouvoir meme y utiliser des pierres; avec un respect immodéré pour la nature.
A partir de ma decision debut mars, qu'un voyage familial a permis de creer, l'initiation se presenta, l'administration devint mon Big Brother et le monde était a ma portée.
Mily avait raison, lorsqu'elle parlait du monde a chatouiller [je m'imagine toujours me jucher sur quelque chose que pour pouvoir titiller le ciel de mon index]; car ce sont nos ideaux, nos reves, nos inspirations, nos identifications qui nous portent a les transposer en realité.
Voila toute l'energie que nous sommes; celle que nous consacrons a nous memes...
Après le chantier?
Je compte me rendre en Chine, apres m'etre trouvee un guide pour faire un trekk au Tibet, et aller a la rencontre des peuples khams, qui sont les nomades du tibet.
Ils m'inspirent beaucoup [c'est ma maniere a moi de clamer "je suis kham"].
J'en ai vaguement entendu parler, mais je veux voir de mes propres yeux, je veux dialoguer avec eux, partager leurs rites et leurs coutumes.
A Dharamsala meme se trouve l'Ecole de Medecine Tibetaine, on y apprend durant 7 ans la langue, la culture et la forme de guerison par les plantes et les pierres mais aussi via les centres energetiques; c'est là que j'etudie chaque jour avec plaisir le fleuron du bouddhisme pratique, a la suite de mon voyage cino-tibetain se presentant sous mon signe Totem et m'initie aux rituels tibetains, le bön.
Apres la notion des dialectes, apprises par les jeux de sourires, de mains, de regards autour de moi comme des fleurs et des fruits ceuillis a même la nature, les paisibles coucher de soleils, et les doux reveils fondamentaux sur les sites energetiques; je reviens a Dharamsala, j' apprends le tibetain et j'obtiens une licence de traductrice tibétaine.
Je trouve un job qui me permet de postuler pour l'Unesco -super pistons oblige-, de bosser pour eux en revenant sur les sites retenus et repérés durant l'Initiatique et de rendre des rapports sur l'etat ecologique, mais aussi le respect de la culture et exclusivement pour moi, relater de la culture spirituelle de la region Eurasienne, qui donnera suite a des rencontres a tous les points du monde.
Petite parenthèse entre les premieres années de free-lance pour l'U, et ma promotion, le voyage Cathare et la Verdine.
detractrice de l'impossible, inventrice et Tara Verte globe trotteuse
devine divine de la nature et aimée de tous
Va nait ça